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Mon cousin Hugo de Coco des Amériques
Illustré par Elza Lacotte
ISBN : 979-10-92364-03-3
Genre : Livre jeunesse (7-11 ans)
Format : 14 x 30 cm
Nombre de pages : 59
Disponible depuis le 22 octobre 2013
Prix public : 18 euros
« Dans ma famille, à part Papa et Maman, Grand-père et Grand-mère, il y a mon cousin Hugo. Moi je l'aime bien mon cousin Hugo, mais c'est dommage, je ne le vois pas souvent parce qu'il habite très loin. Si loin qu'il faut traverser tout un océan et un morceau decontinent pour lui rendre visite.»
En France et au Chili rien ne se passe en même temps.... Quand c'est l'hiver chez l'un, c'est l'été chez l'autre et quand Hugo, lui, est en vacances, en France il faut aller à l'école. Le jeune narrateur nous aide à comprendre à l'aide de petites expériences comment fonctionne la Terre et ses nombreux phénomènes géographiques qui expliquent toutes les différences entre ces deux pays.
"J'ai aimé ce livre plein d'imagination... Il en faut, comme il faut du talent pour faire un livre d'un long voyage en bus. Bravo l'auteur ! J'ai par ailleurs toujours eu envie de voyager en Europe de l'Est, persuadé que ce voyage serait tout autre que le même parcours en avion. En lisant ce livre, à 80 ans, j'ai un peu réalisé mon rêve. Soyez persuadée que je mettrai tout mon cœur à assurer au Ver à soie la diffusion qu'il mérite" (envoyé par Guy, le 18.07.2013 de Roubaix).
Lire notre entretien avec Vala L. Volkina
Les Esprits moldaves voyagent-ils toujours en bus vers l'Ukraine ? de Vala L. Volkina, illustré par Elza Lacotte
Genre : nouvelle illustrée
Format 11,5 x 21 cm
ISBN : 979-10-92364-01-9
Disponible depuis le 10 juin 2013
e-ISBN : 979-10-92364-06-4
Disponible depuis le 23 mars 2020
Prix du livre : 16 euros
Prix de l'e-pub : 10 euros
C'est l'histoire d'une femme qui décide de traverser l'Europe pour des raisons professionnelles très sérieuses, mais qui décide de le faire en bus, ce qui n'est pas sérieux du tout. Coincée pendant 48 heures dans ce caisoon roulant à 100 kilomètres heure, elle décide de faire oeuvre d'anthropologie en prenant des notes et en nous décrivant les 44 passagers qui, tous dingues, doivent apprendre à se comprendre et à se survivre pendant la durée du voyage :
« Il avait suffi que le chauffeur principal passe la première pour qu'un silence religieux s'installe parmi les passagers. Chacun avait commencé à pousser mentalement, et dans sa langue, le gros équipage. Comme ce n'était pas le moment de maigrir, j'avais commencé à grignoter scrupuleusement des noix de cajou, pendant que mon voisin, bien plus corpulent que moi, s'était littéralement jeté sur son sac pour en tirer un repas complet. Après avoir poussé un soupir de satisfaction rien qu'à la vue de son entrée, il se décida à se présenter : « Bonjour, je suis Roumain ! » Puis, sans transition, Roumain sortit une grosse cuillère à soupe de la poche intérieure de sa veste pour laper un énorme framboisier en voie de décongélation. Il se demandait bien ce qui me prenait, à moi, une Française, de partir en Ukraine. Moi aussi, au fond, à cet instant précis, je me le demandais bien... ».
Publié avec le concours du CNRS, Réseau Asie - Imasie
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La version numérique de ce livre est actuellement en cours de réalisation au format e-pub
Le dernier bateau pour Yokohama de Michel Wasserman et Nassrine Azimi
Les Sirota : une odyssée culturelle et politique
Illustration de couverture : Elza Lacotte
Format : 14 x 20 cm
Genre : Essai
ISBN : 979-10-92364-16-3
Nouvelle édition disponible depuis le 25 avril 2015
Prix du livre : 14 euros
Ce livre dit la tragédie et la grandeur du vingtième siècle. Il traite du passage de relais entre un père et sa fille, au plus haut niveau d'action artistique et politique. Échappant à la tourmente nazie, Leo Sirota, virtuose à l'égal des plus grands, forma au cours des années trente l'élite des pianistes japonais. Sa fille Beate, élevée au Japon dont elle possédait parfaitement la langue, rédigea à 22 ans auprès de MacArthur l'article décisif sur l'égalité des sexes dans la constitution pacifique élaborée par l'occupant. Rentrée aux États-Unis en 1947, elle se consacra pendant près d'un demi-siècle à sensibiliser le grand public américain aux traditions théâtrales de l'Asie. Elle nous a quittés le 30 décembre 2012, suscitant un hommage planétaire.
Michel Wasserman enseigne à l'université Ritsumeikan, à Kyôto. Rien de ce qui relève dans l'archipel du théâtre et de la musique ne lui échappe. Haut fonctionnaire aux Nations Unies en poste à Hiroshima, Nassrine Azimi fut une amie proche de Beate Sirota.
Tous nos remerciements vont à Monsieur Jean-François Sabouret et au Réseau Asie - Imasie du CNRS qui ont soutenu la parution de ce livre.
Mamou d'Angi Máté
Texte traduit du hongrois par Zsuzsa Kosza
Illustré par Danka Hojcusova et Elza Lacotte
Collection : 50 000 signes
Genre : Nouvelle illustrée
Format 12 x 18,5 cm
ISBN : 979-10-92364-00-2
Disponible depuis le 25 mars 2013
Prix de la version papier : 16 euros
Prix de la version e-pub : 10 euros
Mamou n'est pas un livre pour enfants, mais un livre sur l'enfance. Une adulte prend la voix de la petite fille qu'elle a été pour nous convier dans l'univers insolite du désamour. Élevée par mamou, sa grand-mère au visage plissé, elle ouvre des yeux curieux sur un monde d'adultes hostile, étroit et dépourvu de féerie. Elle y oppose l'immensité de ses terrains de jeux enchantés, son langage imagé, ses plaisirs incongrus, sa naïveté, son regard innocent et avide de comprendre ce que nul ne prend la peine de lui expliquer. Pour trouver sa place dans ce monde, il faut le transformer : peut-on aimer autre chose que les cimetières et les enterrements ? Des petits jardins peuvent-ils pousser sur les genoux ? L'hiver commence-t-il dans les marmites? Peut-on faire des mouillettes avec ses couettes dans son chagrin ou aller chatouiller les pieds des saints dans les églises pour voir si cela leur ferait du bien, si cela les rendrait moins tristes ? Peut-on être aussi grande que l'oubli en soi ? Tout semble possible, tant que mamou est là, tant que l'on peut continuer à être soi, tant que la mort de ceux qu'on aime ne nous oblige pas à devenir autre.